Te rappelles-tu de nos longues balades ? Le long des ruisseaux , des grandes cascades ? ;
Du « bon temps » quand tu marchais à mes cotés ? ...
Je me souviens c’est gravé dans ma mémoire : Tes beaux romans , tes belles histoires,
Tout ces rêves avec moi que tu voulais partager ...

Dis moi as-tu réalisé ces choses ? Ou bien as-tu tout r’mis en causes ?
As-tu r’nouvelé ta confiance ? As quel élu fait-tu tes confidences ?

Personnellement je marche avec des écouteurs sur mes oreilles. Grâce à un petit baladeur ,
J’écoute de la musique depuis que tu m’as quitté ...
J’ai longé des champs , fait des kilomètres ; Traversé les forêts aux « sons des poètes » ,
Me faisant caresser par des « rimes de sérénité » ...

Et j’écoute l’album « Fragile » de Cabrel ; En pensant à toi j’en retient l’essentiel ;
Et j’écoute encore l’album « Fragile » : Des paroles , des vers en guise « d’évangile » ...

Je comprends maintenant quand il n’y a plus personne , quand toutes les saisons deviennent des « automnes » :
Des journées de « désert » , Des journées quand « il pleut » ...
Je manque d’encre pour décrire ce thème : Ma perte de raison , la fin de mes poèmes ,
Depuis que je n’ plonge plus dans l’profond de tes yeux ...
J’ai marché même autour des églises , prié les anges « perchés » pour qu’ils me disent :
« -N’y a t-il vraiment plus rien de ton autre coté ? »
Te trouves-tu vraiment au bout d’un voyage ? , Dans quelle cérémonie , quel mariage ? ...
Pour quel « autre ami » m’as tu laissé tomber ?

Et j’écoute l’album « Fragile de Cabrel » ; En pensant à toi j’n’en retient que le « miel »...
Et avant que la douleur me transperce ; Je change : j’écoute « Les chemins de traverses ... »

Et souvient toi de nous quand le matin à ton réveil , tu embrassais mes mains ;:
Juste aux creux de mes doigt , j’pouvais palper ton cœur .
Pourrais-je croire encore à ces promesses ?, comme disait le prêtre hier à la messe :
« -Un monde « a venir » avec plus de douceur ... »
Et toutes ces passerelles , ces ponts bâtis ? , ceux qui devaient nous menés au paradis :
-N’existent-ils que dans les vers de « Francis  Cabrel » ?
Pourtant , « je rêve » encore de ton retour même si tu fait « rage » , « guerre » à note Amour , :
J’ suis armé de « musique » pour vaincre ce « duel » ! ...

Et j’écoute à nouveau l’album « Fragile » …. j’imagine ton retour : une « statue d’argile » ...
À la moindre pluie , la moindre larme qui coule …: Tout redevient sable comme la terre que je foule …

-Je sais plus où je vais ; à quel heure je me couche ...
-Mon tourment me condamne , son « alcool » m’enivre...
-Au parfum d’l’ oreiller , je recherche ta bouche :
-sans tes doux bras de femme , je ne pourrai survivre ...

Je ne me battrait jamais pour te plaire , pour te conquérir moi j’ai mieux à faire :
Mettre du temps , « monter des murs », bâtir des « tours » ;
Percer ces grosses pierres de meurtrières , pour laissé passé le jour, la « lumière » , ...
Les oiseaux qui apport’ront le courrier de l’Amour !...
Derrière cette forteresse couleur automne , rien ne m’agresse , non rien ni personne !
Même s’ils me racontent … : ceux qui’t croiseront un jour !

Derrière mes murs j’écoute « fragile » : des paroles , une voix en guise d’évangile
D’la « Dame de Savoie » à la « Dernière chanson » ... , je soulage mon âme de ces curieux « démons » …
Et j’écoute l’album « Fragile » de Cabrel ; En pensant à toi j’en retient l’essentiel ;
Et j’écoute encore l’album « Fragile » : Des paroles , des vers en guise « d’évangile » ...